reste assis; un, dos, tres, anarchie (bash)

Lun 29 Mai - 21:18

TW : mentions d’adultères, d’addiction (drogues), de négligence parentale, de mensonge sur la grossesse, de fausse couche, de décès (uc)

onglet 1onglet 2

sebastian (bash) senger
ft. lee pace

âge, naissance quarantaine qui a frappé physiquement l’épave. n’en as que faire des rides de plus en plus apparentes, des quelconques signes de début de vieillesse ; mental et manière de vivres sont restées bien en arrière. ✧ l’allemagne en pays natal, souvenirs d’enfance qui résident encore dans la tête, as vu le jour au beau milieu du mois de mai, sous les airs printaniers du dix-huit.

genre n’as jamais douté, questions ne se sont jamais posées, homme cisgenre.

occupation des années d’études qui ont fini par payer, côté studieux inattendu qui s’est pointé, rigueur presque sans faille qui a toujours habité lorsque ça touchait au métier. pas fière de grand-chose, bash, mais es bien sûr d’une chose, n’échangerais et ne changerais pour rien au monde ce poste repris à l’outer banks hospital, en tant que médecin.

situation financière $$$$$, moyenne plate, presque fade. aurais pu mettre de côté, faire partie de ces gens qui peuvent ne rien se refuser. vie en a décidé autrement, ou plutôt rythme de vie choisi qui ne permet pas d’amasser des masses pour s’acheter la baraque de tes rêves. vieilles addictions qui s’accrochent à la peau, dans laquelle dilapides bonne partie du chèque mensuel, tout comme les soirées encore passées avec les potes, à vouloir faire plaisir à tout le monde.

statut civil chaos total ; encore plus que dans la caboche. en instance de divorce, après plusieurs années marié à la même femme. as toujours su au fond que ce ‘jusqu’à ce que la mort ne vous sépare’, n’était que du vent, n’as jamais eu le courage de lui parler franchement, il a fallu qu’elle découvre les aventures sur le côté pour imposer cette séparation.

orientation sexuelle es loin d’être difficile, c’est même bien ça le cœur du problème. pansexuel, as tendance à t’attacher facilement aux gens, à ne voir que le positif et te laisser porter sans réellement penser aux conséquences.

situation familialesœur cadette sans qui la vie serait loin d’être aussi facile, pour qui tu donnerais tout ; meilleur ami considéré comme un frère chez qui tu crèches ; des parents de qui la fratrie s’est faite un peu distante, vous réunissez généralement à noël histoire de dire que, et puis c’est tout ; presque ex-femme avec qui s’est encore compliqué, n’auriez plus rien à vous dire si et seulement si petit bout de deux ans ne se retrouvait pas au milieu du jeu de quilles. malgré vos différends, autant l’un que l’autre cherchez son bonheur.

à kildare depuis l’adolescence ; des dizaines d’années à rester dans le coin, avant ce départ il y a deux ans, cette soi-disant dernière chance pour le couple, essai d’une nouvelle vie qui es lamentablement tombé à l’eau, s’est noyé et t’as gagné un retour direct pour la ville de cœur il y a quelques mois seulement.

la force tranquille, bash. tellement qu’elle peut en devenir insupportable, cette longueur à la détente dans les gestes, à la réflexion lorsqu’on pose une question qui nécessite une réponse. faut avoir de la patience, s’attendre à devoir répéter, à ce que ce soit hors sujet. l’attention en point faible, vacillante. écoutes pourtant, coinces les informations dans un coin de sa tête, mais restent inaccessibles dans l’immédiat. l’esprit éveillé, trop fourmillant, et le corps endormi. paresse bien trop installée, lorsqu’il ne s’agit pas du travail, incrustée depuis que t’es né, n’aimes pas devoir te bouger inutilement, faut toujours te pousser un peu pour faire lever le cul du canapé, invité le moins difficile à satisfaire, déjà bien trop heureux ne serait-ce qu’en se posant, même pas besoin de spécialement parler. bash, c’est aussi les fameux « t’inquiète, j’suis en route. » d’une voix encore trop rauque, pour ne se pointer qu’une demi-heure plus tard, une excuse aussi bancale que le style criant au lever au saut du lit. le retard comme une deuxième identité, mais finis toujours par être présent lorsque tu donnes ta parole. avec toi, rien n’est ni blanc, ni noir, tout est toujours gris, l’art d’aplanir les choses, de les adoucir, d’être arrangeant pour tout le monde, quitte à ce qu’il y ait des frustrés, autant que tout le monde puisse s’y retrouver ne serait-ce qu’un minimum en même temps. éternel indécis, les choix en horreur, tout comme les conflits, les fuis comme la peste, te contentes d’en rester à l’écart, de les repousser le plus possible et au pire du pire, quand vraiment il n’y a plus d’autre solutions que de donner son avis, prends les deux partis, défends l’un comme l’autre, la lâcheté en bouclier, refourgues bien au fond de toi-même ce que tu peux penser. capable de pardonner les pires coup, de passer l’éponge un peu trop facilement, un pacifisme extraordinaire qui t’aide à avancer, à aller de l’avant. t’es généralement celui vers qui il faut aller, à qui il faut envoyer un message en premier; tu répondras, toujours, mais es bien incapable de rendre une relation viable sur le long terme si tu n’as pas la personne en face de toi, n’as pas vraiment conscience du temps passé sans avoir pris une seule nouvelle. l’avantage c’est qu’on peut te reparler après plusieurs mois, années, de silence sans que tu ne te vexes, arriveras toujours à rendre cette chaleur familière, cette impression de ne s’être jamais quittés. bash, c’est aussi la musique toujours bien trop forte, sans aucune parole, le plus de basses possibles, le casque vissé sur les oreilles, celle qui permet d’assourdir les pensées, d’oublier tous les maux, fuir tranquillement les responsabilités, donne l’impression de grapiller de l’insouciance. parce qu’au fond rien n’est grave, rien ne l’a jamais été d’après toi, arrives toujours à désamorcer, calmer les choses quand tu décide de t’y mettre. parce que t’as tendance à céder à la facilité, succomber à la tentation qui peut se présenter à toi.

i just pretend it isn't real

il n’y a plus que les papiers d’identité pour prouver prénom donné à la naissance. surnom qu’a pris le dessus depuis des lustres ; ne reste plus que les parents et presque ex-femme pour rappeler sebastian. ✧ as toujours vécu avec des animaux de compagnie, es passé un peu par tout, des têtards aux chats en passant par les gerbilles. Depuis trois ans, es l’heureux propriétaire d’un barzoï récupéré en refuge. ✧ adores immortaliser l’instant, certaine passion pour la photographie qui s’est développée depuis l’adolescence. Traînes souvent un appareil avec toi lors de ton temps libre. ✧ fais tout pour passer des bons moments avec ton fils, lui préparer des activités dès qu’il loge chez toi, l’installer et l’occuper le mieux possible.

couple aux revenus modestes, qui n’avait pas prévu d’être parents, mais décide de tenter l’expérience. faut dire que ça se passe bien les premières années. ça a l’air de les souder, au début. parce que rapidement, tout devient sujet à la controverse, la manière d’éduquer ce gosse, et avec le temps, ça refourgue inlassablement la faute à l’autre, lorsqu’il fait une connerie. tu te rends compte en grandissant que t’es bien mieux dehors, avec les autres enfants de ton âge du quartier. t’y traînes autant que tu veux, jamais restreint par une quelconque heure de couvre-feu ou de dîner, c’est plus un hôtel qu’autre chose pour toi, cette baraque. même si tu t’entendais bien avec tes parents, les deux, lorsqu’ils n’étaient pas rassemblés dans une pièce. toujours cette peur qu’un jour un mot soit beaucoup trop haut qu’un autre, que la violence s’invite à la partie, mais ça n’a heureusement jamais été le cas. des altercations incessantes, qui enveniment toujours plus le quotidien, ton quotidien. elles prennent le pas sur tout, ça commence une fois par oublier d’aller te rechercher après l’anniversaire d’un camarade de classe, deux mois plus tard à la sortie de l’école, et sournoisement, ça devient une habitude. pour éviter qu’un conflit ne se retourne contre toi, tu finis par voler le double des clefs, te l’appropries et préfères te démerder pour rentrer seul. un beau soir, c’est le silence qui t’accueilles, ils sont pourtant bien là tous les deux, ta mère le sourire aux lèvres qui t’annonce que t’allais être grand frère.

bien évidemment que rien ne change, même lorsqu’elle arrive, qu’elle grandit. et tu sais bien qu’elle a rien demandé, cette sœur. sentais et savais pertinemment aussi comment ça allait finir par se passer, savais que si tu ne faisais rien, elle serait aussi bonne à attendre des heures à la sortie de l’école qu’on vienne la chercher, devoir attendre que quelqu’un du corps enseignant les appelle pour les prier de venir la reprendre, que ça deviendrait rapidement son quotidien. alors t’y vas à leur place, c’est pas la mort de faire le détour jusque-là, ça vous rapproche même, ces moments privilégiés, à parler de tout, de rien, de vos journées respectives, puis au moins, t’es sûr qu’il ne lui arrive rien non plus. vous vous en sortez bien, juste à tous les deux.

engrenages, monde qui se bousculent une nouvelle fois, cette fois-ci est question de quitter allemagne natale, d’aller s’échouer à ce qui semble être l’opposé du globe quand un parent éloigné de votre mère lui laisse baraque à kildare. changement pas simple en pleine adolescence, pétais pas beaucoup de mots d’anglais en arrivant, n’avais jamais été vraiment passionné du cours, des cours en général. es bien forcé de faire un effort pour tenir le rythme, as de la chance de tomber sur celui qui deviendra ton meilleur ami, mec qui a de la patience, avec qui tout semble toujours simple et te pousse à faire mieux. devenez rapidement inséparables, presque les mêmes conneries qui vous collent à la peau, à faire le mur pratiquement tous les soirs, ne serait-ce que pour flâner dans la rue s’arracher la gueule jusqu’au petit matin dans ton cas. même pas besoin de faire semblant devant les parents en rentrant, ils ne remarquent rien, ou ne veulent pas le remarquer. ça continue de gueuler à la moindre occasion, l’esprit même pas assez cotonneux pour bloquer les cris. mais ça vide la tête d’une partie des problèmes, ça te fait sourire d’être dans cet état, alors tu continues, ça en devient une part entière de ta personnalité. ça avait commencé par une promesse d’un mec que tu connaissais à peine, disant que tout irait mieux, et franchement il avait pas tort. il n’avait pas prévenu que ton corps en demanderait toujours plus, n’aviez sans doute prévu aucun des deux que tu serais un de ses clients les plus fidèles.

années passent, sœur et meilleur ami s’ancrent toujours plus, contrairement aux histoires sans réels lendemains qui s’enchaînent pour toi. cherches pas vraiment à te poser, n’en ressens ni le besoin ni l’envie, vivre au jour le jour sans se soucier des conséquences était tout simplement parfait, amenait cette insouciance qui avait pu cruellement manquer à certains moments. mais vie d’adulte se rapproche à grands pas, choix qui vont avec par la même occasion. n’avais jamais vraiment eu l’intention de faire des grandes études, pas beaucoup de confiance en quelconque capacités, et comme à sa nouvelle habitude, c’est la cadette qui t’entraîne, te convaincs que t’as rien à perdre, et qu’elle était certaine que médecin t’irait bien au teint. n’as pas envie de la décevoir, finis par t’y démener dans ces études, à t’y sentir bien, même si es loin d’être à la tête de la promo. aurais sans doute pu y passer encore plus d’heures, avoir des résultats un peu plus mirobolants, mais avais trouvé équilibre, parfait, sans renoncer au besoin de se vider la tête, toujours bien accompagné.

puis au milieu de tout ça, il y a cette fille qui s’accroche un peu plus que les autres, qui prend de plus en plus de place un peu malgré toi. arrives pas à la freiner, même après lui avoir dit que tu ne voulais rien de sérieux. passe complètement outre, et de ton côté finis par laisser tomber, as d’autres choses à penser avec diplôme qui se rapproche, qui finit dans la poche. années un peu plus légères qui suivent, aurais pu continuer longtemps de la sorte, seule ombre au tableau était couple qui semblait se renforcer, essayes petit à petit de le faire s’effriter, mais nouvelle tombe comme un poids, trois mots qui suffisent à sceller cette union sur laquelle tu ne comptais jamais réellement mettre de mots. elle était enceinte. et ça avait eu l’air de la rendre tellement heureuse que tu n’avais pas osé dire que ce n’était pas partagé. et elle avait fait s’enchaîner le tout, tellement rapidement; la présentation enfin, officielle aux parents, début des questions sur vous deux, de la pression de savoir si vous comptiez vous marier. évites comme à ton habitude, mais trop tard, l’idée s’était implantée chez la jeune femme, n’en démord pas, et en un rien de temps te fait sa demande. le piège qui se referme, réalité qui percute et as envie de lui dire que t’es pas la bonne personne, que t’étais pas qu’elle recherchait, fallait te laisser déguerpir, qu’elle se trouve quelqu’un de responsable.

mais t’es pas comme ça, pensais plutôt à toutes ces prises de tête, ces querelles que la séparation engendrerait. non seulement tu l’aurais sur le dos, mais il y aurait tout autant le reste de sa famille que ta sœur, visiblement enchantée que t’aies l’air de te poser. pas la foi ni le courage nécessaire pour ça, en plus d’être incapable de la lâcher du jour au lendemain, de la laisser se débrouiller avec cette grossesse qui ne faisait que commencer, ce nouveau-né qui allait prendre tellement de place dans sa vie, alors préfères éviter tout ça, et acceptes la demande par dépit.

semaines passent mais l'ambiance reste lourde contrairement à ce qu'elle aurait dû être. quelque chose cloche, a l'air de plus en plus mal à l'aise jusqu'à avouer qu'histoire de grossesse n'était que supercherie. n'aurait été qu'une question de semaines, voir moins avant que tu ne le remarques de toute manière. seul et unique moyen désespéré qu'elle avait trouvé pour te garder en te sentant de plus en plus fuyant. aurais pu, aurais dû, tourner le dos à ce moment-là, plutôt que de laisser couler, parce que c'était la solution de la facilité. casse définitivement quelque chose entre vous, donnez le change en public, comme si tout allait parfaitement bien, alors que d'un autre côté laisse tomber efforts que t'avais pu faire pour elle jusqu'à maintenant. vieilles habitudes reviennent en un rien de temps, retombes aisément dans les travers, retournes voir à gauche et à droite entre autre, remords qui ne viennent même pas.

c'est au beau milieu de tout ça que débarque cassiopée. nouvelle recrue à l'hôpital, as toujours été un peu du genre à aller vers les autres, ne serait-ce que pour les intégrer. mais avec elle, ça prend une autre tournure. courant qui passe de mieux en mieux, même trop. pensais pas que ça allait devenir sérieux, mais il y a quelque chose de différent, de plus avec elle. ça a l'air plus simple, plus naturel. comptais planifier la situation, même si t'aurais dû le faire depuis le début, quand soi-disant moitié annonce grossesse, bien réelle cette fois-ci. éternel lâche, n'arrives plus à te convaincre à lâcher le morceau à ta femme, n'arrives pas à te passer non plus de ce bonheur, cette légèreté, que peuvent amener rencontres et rendez-vous avec cassiopée. laisses couler les choses, comme si il y avait une chance que ça se finisse bien, mettre des œillères était bien plus facile. mais cassiopée est loin d'être stupide, découvre vérité après quelques mois, préfère rompre. un message laissé on ne peut plus clair, ne la croises même plus dans les couloirs et décides de ne pas insister, était sans doute mieux comme ça, pour tous les deux.

t'attendais à tout, sauf la voir revenir vers toi quelques semaines plus tard, annonçant attendre un enfant. n'as pas envie de croire la nouvelle, reviens des années en arrière, préfères penser que cette fois-ci aussi, c'est un mensonge, mais un test positif, ça ne s'invente pas. es bien obligé de faire face à la réalité, d'ouvrir les yeux sur le bourbier que t'avais toi-même créé. même si avait l'air prête et déterminée à l'élever seule, ça n'allait pas arranger fin fond du problème. étau qui se resserre, pouvais difficilement éviter conséquences cette fois-ci, fin de la route qui s'esquisse et la seule issue qui semble en ressortir est bien une solitude qu'ironiquement, t'avais du mal à imaginer, à supporter sûrement. comme à ton habitude, traînes à prendre les choses en main, mais pour une fois ne dessers pas. cassiopée revient une dernière fois, t’annoncer qu’elle avait fait une fausse couche. avais été égoïstement soulagé par la nouvelle, d’autant plus lorsque ta femme propose de déménager, prendre un nouveau départ avec votre nouveau-né.

changement radical, qui fait du bien, au début. commences à croire que c’était peut-être ce dont vous aviez besoin, de vous éloigner de tout ça, de vous concentrer sur zane. première année qui passe, qui a un peu des allures de bulle dorée. attention complète tournée vers votre fils, celui qui avait réussi à vous rassembler, mais était bien la dernière chose sur laquelle vous vous accordiez, de vouloir son bien-être, son bonheur. mais dès que ça ne le concerne plus, ça devient de plus en plus compliqué, de plus en plus lourd. cherches échappatoires dès qu’il est couché, que tu ne le gardes pas. début de la réelle fin de votre couple qui n’avait jamais vraiment été grand-chose d’autre que bancal. devenez petit à petit plus des colocataires qu’autre chose, et encore. tout était sujet à se prendre la tête lorsque zane n’était pas près de vous, goutte d’eau qui fait déborder le tout lorsqu’infidélités qui avaient continué sortent au grand jour. séparation qui se concrétise, et te rends compte qu’à part pour votre fils, le reste t’importait peu.

retour à kildare, chacun de son côté. elle se retrouve un appartement quand, incapable de perdre tous tes repères d’un coup, tu débarques chez ton meilleur ami. colocation à trois, quand on compte son plus un, qui a l’air de bien fonctionner jusqu’à aujourd’hui, essayes de ne pas toujours être dans leurs pattes, maison assez grande de toute manière pour ne pas se marcher dessus, même parfaite pour accueillir zane dont t’as la garde un weekend sur deux pour le moment. retour à l’hôpital aussi, celui où tous les souvenirs résident encore, dont celui de cassiopée, sais que s’éviter n’est pas une solution, en plus d’avoir le léger espoir que même si vous vous étiez quittés sur plus qu’une mauvaise note, il y a peut-être encore moyen de rattraper quelque chose.

pronoms‧s she/they type de personnage pré-lien de @Cassiopée Heathcote. origine‧s de la célébrité allemandes et anglaises personnage (X) permanent () éphémère. d'où viens-tu une pub sur prdcrédits photos @ guy aroch ; modifs/graph @ me autre on a vraiment l'air bien ici heeart

Merci d'être attentif‧ve lorsque vous remplissez les bottins. Nous ne recenserons pas les codes vides.

bottin des avatars

Code:: <pris>lee pace</pris> @"Bash Senger"

répertoire des emplois

quartier chapel hill
lieu the outer banks hospital

Code:: <aa>médecin</aa> @"Bash Senger"

répertoire des logements

quartier chapel hill
type d'habitation maison de ville

Code:: <aa>#1789</aa> @"Bash Senger"

répertoire des personnages

Code:: <ac>@"Bash Senger"</ac> <aa2>40 ans, en instance de divorce, pansexuel, médecin.</aa2>

Lun 29 Mai - 21:33

TOI

J'aime ta plume, le pseudo, l'avatar kiiss

je me réjouis de lire la suite, parce que le début est parfait niais

On va bien s'amuser ensemble, j'en suis certaine llove

Lun 29 Mai - 23:11

ces premières lignes, le fc de malade et ta plume : tu vas faire une heureuse, c'est certain ! heeart

bienvenue sur MON, je te réserve lee pour sept jours. Hésite pas en cas de besoin cuutie

Mar 30 Mai - 9:07

lee quel choix
et ce pl sent bon le drama!
bienvenue ici

Mar 30 Mai - 11:10

wow, je plussoie tes choix entre le pl et le fc, lee est parfait drama

très jolie plume et le perso qui se dessine est intéressant !! hihiii

je te souhaite la bienvenue par ici heeart

Mar 30 Mai - 11:15

c'est génial !! tu fais une heureuse, bienvenue monsieur

Mar 30 Mai - 11:34

Bienvenue par ici toi luv

Mar 30 Mai - 21:41

Bienvenue et bon courage pour ta fiche icon_biggrin

Super choix de célébrité luv

Mar 30 Mai - 22:21

Bienvenue par ici heart2

Mer 31 Mai - 10:54

Oh un copain docteur ! On se trouvera surement un petit lien, bienvenue heart

Jeu 1 Juin - 1:40

bienvenue sur le forum et bon courage pinky

je suis déjà fan de bash girl

Jeu 1 Juin - 22:10

bienvenue sur MON,
avec cet homme fort intéressant.
j'ai dévoré ton début de fiche.
bon courage pour la fin. coeur

Ven 2 Juin - 22:06

Je suis totalement conquise par ta fiche, pour moi c'est tout bon bril

Ven 2 Juin - 23:13

merci à vous tous pour cet accueil, vous êtes beaucoup trop mims holdheart

@Cassiopée Heathcote je me répète, mais je suis beaucoup trop contente d'être tombée sur ton pl, et de me laisser le tenter

je ne doute pas qu'on fera de grandes choses, j'ai beaucoup trop hâte drama

@Ella Meadow merci énormément pour tous tes compliments heearty

(et madelyn d'ailleurs, quel choix drama

) si jamais j'ai besoin de quoique ce soi, je saurai où te trouver aon

@Oz Sadler merci beaucoup pls

(j'aime tellement ton kit, et puis ce prénom drama

)

@Giovanni Reyes merci pour tout loovee

! ça me fait super plaisir de lire ça de toi, je suis ultra fan des infos dans ton profil, j'ai hâte de me poser un peu et d'en découvrir plus sur gio drama

@Chuck Roe merci beaucoup luuv

! j'espère maintenant que cass me supportera drama

@Moira Strom merci à toi holdheart

@Brandon Dubray merci kissluv

(tu peux parler pour le choix de célébrité red

)

@Rory Akman merci beaucoup keur

@Matilda Blake carrément pour le lien holdheart

ils bossent au même endroit, et ont presque le même âge, on pourra s'en trouver un assez facilement loovee

@Zephyr Drizzled mooh, merci énormément llove

(j'ai dévoré les infos de ton profil l'autre jour, et quelle plume luv

)

@Mars Lovelock merci infiniment holdheart

mars a l'air de promettre énormément loovee

Sam 3 Juin - 11:17

bravo, tu es validé‧e !

Personnage très complet, j'ai adoré lire ta fiche. hawai

Sacré histoire entre sa femme, la soeur aussi et Cassio dit donc, ça promet ! J'ai hâte de vous stalker héhé. Amuse toi bien ici. heart

les registres

Te voilà enfin prêt‧e à commencer l'aventure avec nous. Tu trouveras à la suite, les différents registres où ont été recensés les informations de ton personnage. Nous te conseillons d'y jeter un œil, pour vérifier que rien n'a été oublié. (Toutefois, merci de patienter quelques heures après la validation pour nous contacter s'il manque quelque chose, nous faisons parfois plusieurs fiches en même temps.) staar

bottin des avatars les logements les emplois répertoire personnages

se lancer dans l'aventure

Une fois tout en ordre, tu peux dès à présent créer ta fiche de liens, des rps et faire tout un tas de choses ou de recherches pour mener à bien ton personnage. Voici quelques liens pour te repérer plus facilement :

fiche de liens recherche de partenaire situations rp rps libres

moment détente

Et bien évidemment, entre deux écrits, tu as la possibilité de t'amuser avec des petits jeux, flooder ou même papoter de tout et rien dans des lieux adéquats. Mais également de voter pour le forum si le cœur t'en dit. niice

flood jeux top-sites

Nous te souhaitons de passer un bon moment sur middle of nowhere et nous sommes à ta disposition (reggie walsh & ella meadow) si tu as des questions ou le moindre souci. heeart

Have fun !